Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
31 octobre 2010 7 31 /10 /octobre /2010 19:39

J'ai oublié de citer ma correspondante, qui parle de ses enfants et des soins qu'ils ont reçus, et qu'ils recevront dans les années à venir. Elle sait bien que tout cela n'est pas tombé du ciel, que ce n'est pas l'effet de la bonté intrinsèque des êtres humains, mais qu'il a fallu demander, exiger, conquérir pour que les plus fortunés ou les plus chanceux consentent à partager.

 

Alors oui depuis deux mois, je remercie tous les jours tous ces gens célébres ou anonymes qui se sont battus pour que nous puissions offrir non pas le meilleur mais le necessaire vital à mes enfants.

 

On ne peut mieux dire.

 

RH

 

 

PS Il y a beaucoup plus spectaculaire côté tuyaux, sondes, palpeurs, écrans et compagnie. Cette photographie ne montre que deux lits (le vide est celui d'un enfant que sa mère a pris en charge au moment du cliché), où sont installés en milieu protégé les enfants, que seuls leurs parents peuvent approcher, puisque les autres restent derrière une vitre. Ces deux lits, fort simples, sont des places qui coûtent une petite fortune, dans la mesure où, dans la matinée, ce sont trois ou quatre personnes qui s'affairent tout autour: infirmières, médecins, personnel divers. Cette photo n'est qu'une illustration, mais j'ai voulu vous la faire partager puisqu'elle est une simple évocation.

 

 

Service prématurés. 29/10/2010

Partager cet article
Repost0

commentaires

Présentation

  • : Le blog de Régis Hulot
  • : Quelques réflexions sur le monde d'aujourd'hui, avec un brin d'humour quand c'est possible.
  • Contact

Imaginons qu'on réfléchisse...

"Lorsque les pères s'habituent à laisser faire les enfants, lorsque les fils ne tiennent plus compte de leurs paroles, lorsque les maîtres tremblent devant leurs élèves et préfèrent les flatter, lorsque finalement les jeunes méprisent les lois parce qu'ils ne reconnaissent plus, au-dessus d'eux  l'autorité de personne alors c'est là en toute jeunesse et en toute beauté, le début de la tyrannie."
Platon.

Recherche

Archives