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12 septembre 2008 5 12 /09 /septembre /2008 10:10
Ce n'est pas de l'humour noir, car la réalité dépasse de très loin (hélas!) la fiction.

Ce détenu (en préventive!) qui a été égorgé par son compagnon de cellule était en prison dans l'attente de son jugement pour conduite en état d'ivresse... Quand on parlait de 10 ans de placard pour un franchissement de ligne continue...

Mais que faisait donc ce type dans une prison?
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commentaires

S
Bonne question.<br /> <br /> Le hasard ? Comme le destin ou la roulette russe auxquels on joue en conduisant en état d'ivresse ; avec sa propre vie et celle des autres, s'entend.<br /> <br /> Faisait-il partie d'un quotat, d'une procédure ?<br /> <br /> Avec tout ça, on ne sait pas trop quoi penser.<br /> <br /> srg
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R
<br /> <br /> Pas question pour moi d'excuser la conduite en état d'ivresse plus ou moins manifeste, plus ou moins prononcée. Pour mon usage personnel, devant rentrer d'une<br /> réunion familiale cet après-midi, j'ai accepté un verre de cocktail et me suis contenté de cela et n'ai pas touché à l'excellent bordeaux qui était sur la table. Mais je veux insister sur le fait<br /> qu'il me paraît incompréhensible de mettre en prison (et depuis -et pour- combien de temps?) une personne pour cette seule, ou presque seule raison... dans la mesure où un motard de la police<br /> peut tuer un piéton dans Paris et ne pas être mis à l'ombre alors qu'il conduisait avec un taux d'alcoolémie supérieur à ce qui est autorisé. Sans compter qu'on se demande pourquoi un policier<br /> peut s'en jeter un petit derrière la cravate alors qu'il est en service. Sans compter qu'il semble que les policiers ne se contrôlent pas eux-mêmes.<br /> Suivant que vous serez puissant ou misérable...<br /> <br /> <br /> <br />

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"Lorsque les pères s'habituent à laisser faire les enfants, lorsque les fils ne tiennent plus compte de leurs paroles, lorsque les maîtres tremblent devant leurs élèves et préfèrent les flatter, lorsque finalement les jeunes méprisent les lois parce qu'ils ne reconnaissent plus, au-dessus d'eux  l'autorité de personne alors c'est là en toute jeunesse et en toute beauté, le début de la tyrannie."
Platon.

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